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EPI Culture

EPI – Echo des Paroisses de l’Issole – 01/12/2020

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EDITO :      En Avent les crèches !

 

Chers paroissiens,

Je vous souhaite une sainte nouvelle année liturgique. Alors que le monde réfléchit sur comment gérer la crise économique mondiale, peut-être par la solution d’un vaccin, je vous invite à avoir une réflexion sur l’économie du salut à travers le vaccin des Évangiles.

L’année liturgique est un cycle où nous prenons le temps d’approfondir notre connaissance des Évangiles afin d’apprendre à mieux connaître le message de notre Seigneur Jésus-Christ. Et ainsi nous mettre réellement en route vers le salut qu’il nous a offert. Cette année liturgique débutera par le temps de l’avent. Cette période liturgique nous aide à travers les textes de l’ancien testament à redécouvrir la promesse de l’incarnation de notre sauveur.

Par ailleurs en Provence c’est la période où nous faisons la crèche. Qu’est-ce que la crèche ? si ce n’est de faire entrer dans sa maison Celui qui doit venir. Reprenons l’appel de Zachée :

« Aujourd’hui le salut est entré dans cette maison » Nous savons que la maison en question c’est le cœur de Zachée qui s’est converti. Ainsi installer la crèche dans sa maison c’est préparé notre cœur à recevoir le Christ Sauveur. Je vous invite donc à préparer vos crèches ; le Diacre Boris, le père Simon, et moi- même sommes disponibles pour venir les bénir et prier avec vous.

Pour finir le temps de l’Avent, est également un temps de ressourcement à travers la méditation, la lecture des Saintes Ecritures afin de faire le point sur mon itinéraire personnel vers le chemin du salut.

N’hésitez pas à nous demander conseil.

Je vous souhaite de vivre un excellent temps de l’avent

 

Père Gilles

 

 

 

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EPI – Echo des Paroisses de l’Issole – 01/10/2020
EPI – Echo des Paroisses de l’Issole – 01/11/2020

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EDITO :

Chers paroissiens

Nous entrons dans le mois de novembre qui a trois particularités : Premièrement, il clôture l’année liturgique.
Deuxièmement, ce mois est encadré par les solennités de la Toussaint, et du Christ Roi de l’univers.
Pour finir, les textes de la parole de Dieu durant cette période, abordent les thèmes apocalyptiques des fins dernières. Ainsi nous aurons à méditer sur notre espérance dans le royaume de Dieu, notre désir d’orienter notre vie, notre être dans le Christ. Comme le disait Mgr David Macaire évêque de Martinique, c’est le moment pour aimer un bon CAFE, c’est-à-dire d’aimer Dieu de tout son Cœur,de toute son Âme, de toute sa Force et de tout son Esprit, c’est facile à retenir : un CAFE.

Je suis désolé pour les amateurs de thé mais pour le ciel il est conseillé d’être un fidèle à CAFE plutôt qu’athée.

 

Père Gilles

 

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EPI – Echo des Paroisses de l’Issole – 01/10/2020
EPI – Echo des Paroisses de l’Issole – 01/10/2020

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EDITO :  » Je suis très heureux d’être avec vous. »

Chers paroissiens,

Depuis le 1er septembre vous découvrez un nouveau curé,tout comme moi je découvre de nouveaux paroissiens. Et je peux vous affirmer sincèrement que je suis très heureux d’être avec vous.

Vous devez vous demander mais qu’est-ce qui rend le Père Gilles aussi heureux ? : Votre générosité et votre accueil. De plus, nous avons une augmentation des inscriptions au catéchisme alors que la tendance générale est plutôt à la baisse,ce qui est de bonne augure, malgré le manque de catéchistes.

Tous cela nous montre la fécondité de nos paroisses semée par mes prédécesseurs et plus particulièrement le Père Dieudonné. Ce qui me réjouit aussi, ce n’est pas la beauté de vos villages ou de vos églises. Ce qui me réjouit c’est la joie qui réside dans vos cœurs malgré les difficultés de chacun. Cette joie me fait penser à l’allégresse de la première communauté chrétienne : « Jour après jour, d’un seul cœur, ils fréquentaient assidûment le temple et rompaient le pain dans leurs maisons prenant leur nourriture avec allégresse et simplicité de cœur. » Ac II 46

J’espère qu’en étant votre nouveau curé je puisse conduire cette joie vers un rayonnement qui transmettra votre joie aux habitants de nos villages et ainsi évangéliser par une joie contagieuse, la joie de vivre les évangiles.

Père Gilles

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EPI – Echo des Paroisses de l’Issole – 01/10/2020
EPI – Echo des Paroisses de l’Issole – 01/07/2020

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EDITO : « Vous êtes du monde sans être du monde » (Jean 17, 14)

Le défi de l’identité chrétienne se joue dans cette consigne du Christ au soir de sa vie terrestre. Cette consigne est ambivalente et exige un dosage savamment entretenu pour sa mise en pratique. Comment être de ce monde et vivre en deçà du monde ?  Comment comprendre notre attachement à ce monde et notre détachement de ce monde ?

Ces derniers mois, le monde traverse une année particulièrement éprouvante. Jusque-là, nous n’avons pas encore pu cerner l’impact réel de la pandémie du Covid-19 qui continue sa course meurtrière dans notre monde. Une telle épreuve interpelle spécifiquement les fidèles du Christ : vivre avec cette épreuve comme un test de notre résilience par rapport à notre vocation. Comme chrétiens et croyants, nous avons été appelés à vivre notre vocation au cœur du monde, avec ses joies et ses incertitudes, ses bonheurs et ses contradictions…

Dans la Bible, le mot « monde » a parfois une connotation péjorative dans la mesure où il épouse le sens du « monde terrestre », un ordre clos sur lui-même qui s’oppose, le plus souvent, « au monde céleste », ouvert au divin. Pourtant, le monde cosmique ne constitue qu’un matériau mis au service de l’affirmation de la transcendance. Comme tel, le terme « monde » contient tous les éléments du salut. Ce monde-là est en marche vers son accomplissement, son achèvement et sa plénitude. Pendant que Dieu est le terme de son accomplissement, l’homme est l’agent et l’instrument de la « perfectibilité du monde ». Continuer la lecture

EPI – Echo des Paroisses de l’Issole – 01/06/2020

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EDITO :  IIIème Partie : De la vertu humaine à la foi

« Reste avec nous Seigneur, car le soir approche et déjà le jour baisse » (Luc 24,22) IIIème partie : De la vertu humaine à la foi

Le chemin d’Emmaüs est une véritable école de la traversée, du passage des atrocités du Vendredi Saint vers la Lumière éblouissante du Dimanche de Pâques. Pour ces deux hommes, ce passage n’est pas brusque, ni spontané…, mais il se déroule au gré d’une démarche perplexe et de recul imposé par la tragédie de la crucifixion de leur Maître. Les blessures psychologiques laissées par ce drame mettent un peu de temps à disparaitre de leur mémoire et à cicatriser. Les simples paroles du Nouveau Compagnon de route ne suffisent plus à ouvrir leur cœur sclérosé par les ténèbres de la Passion. Devant l’inefficacité des paroles, Jésus emploie la pédagogie des signes qui a réveillé une vertu humaine encore enfouie au fond de leur cœur.

L’écriture nous dit : « Jésus fit semblant de partir… ». La réaction spontanée d’inviter cet Inconnu à leur table ne relève pas d’abord du domaine de la foi, mais de cette attitude humaine qu’on appelle l’hospitalité… Don de Dieu, la foi se déploie à travers et au travers des valeurs humaines. Elle se greffe sur les dimensions intérieures de l’homme pour les stimuler et les transformer en vertus. Continuer la lecture

EPI – Echo des Paroisses de l’Issole – 29/02/2020

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EDITO : « Les yeux fixés sur Jésus Christ, entrons dans le combat de Dieu »

Ainsi s’ouvre la prière de louange et d’action de grâces pendant tout le temps de carême. Dans la prière de l’office divin, on parle de « l’antienne invitatoire », une invocation à placer Dieu comme point de mire de la journée ! Et cette antienne résume l’essentiel de ce temps favorable en invitant à : « entrer dans le combat de Dieu » !

A première vue, le combat du temps du carême se comprend dans l’austérité, les privations de tout genre, la pénitence, la mortification, le don de soi (qu’on appelle la charité ou l’aumône) … Dans l’un ou l’autre cas, l’effort est demandé et parfois un sacrifice à consentir. Cet effort est une manière de sortir de soi pour rencontrer l’autre qui peut être Dieu ou le prochain. La liturgie parle du Carême comme un temps « d’entrainement » ! Les Sportifs peuvent bien nous aider à comprendre le terme « entrainement », comme un effort physique et/ ou moral pour surmonter une épreuve et gagner un trophée. L’entraînement est une préparation à la compétition, dans le but de gagner ou de vaincre.

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EPI – Echo des Paroisses de l’Issole – 01/12/2019

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EDITO :« Et Incarnatus est… » : Il a pris chair…

Vous reconnaissez certainement le titre de la « Great Mass » – La Grande Messe – de  Wolfgang Amadeus Mozart écrite en 1782 et considérée comme l’une de ses œuvres majeures. Au-delà de l’aspect musical, l’expression « Et incarnatus est… »  est le titre unique de l’ordinaire de la messe composé par ce génie de la musique et du chant liturgique. Etait-ce une manière pour Mozart de focaliser le cœur de la liturgie et de sa source autour de cet article du credo qui professe le mystère de l’incarnation ? : « Et incarnatus est de Spiritu Sancto ex Maria Virgine et home factus est » (Par l’Esprit Saint, Il a pris chair de la Vierge Marie et s’est fait homme).

A la messe chantée, la fin de cet article « et homo factus est » (et le Verbe s’est fait chair) est suivie d’une génuflexion pour marquer notre révérence et notre adoration devant le mystère de Dieu fait homme, comme autrefois, les Mages et les Bergers devant la Crèche où Dieu s’est fait petit-enfant.

Dans ce berceau, « incarnatus est… » évoque l’idée d’un emprunt : prendre à autrui ce qu’on n’a pas… Pour faire venir son Fils, Jésus dans notre monde, Dieu a eu besoin d’opérer un emprunt. La précarité et la vulnérabilité de Dieu se révèlent déjà dans le sein de la Vierge Marie avant de s’exposer à la mangeoire. La toute-puissance de Dieu se montre vulnérable dans le mystère de l’incarnation. Dieu prend ailleurs pour faire sien ce qu’Il n’avait pas pour mieux s’identifier aux hommes.  Mais qu’est-ce que Dieu n’avait pas ? Dieu n’a pas le « caro, carnis » chair, corps… « Et le Verbe s’est fait chair et a habité parmi nous » (Jn 1,14).

Le Créateur cherche-t-il un recours auprès de sa Créature ? Le Tout-puissant est-il dépourvu ? Le Plus-fort va-t-il mendier le secours du Plus-faible ? Ces interrogations appellent à un renversement radical de la raison et interpellent profondément notre foi quand elle n’est pas éclairée par l’Esprit-Saint.

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EPI – Echo des Paroisses de l’Issole – 01/11/2019

EDITO :  « Cet homme fait bon accueil aux pécheurs… »

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EDITO :  « Suis moi » (Mat. 8,22)

Voilà une invitation laconique qui s’adresse à un homme assez particulier : Matthieu, collecteur d’impôts ! Surnommé Lévi (Matt 9,9 et Luc 5,27), cet homme avait certainement de grands biens et peut-être aussi une morale douteuse selon l’opinion d’une branche de ses compatriotes. Avant cet appel, les évangiles ne nous parlent pas de sa proximité personnelle avec Jésus, ni même de son entourage : il ne nous est pas dit qu’il le connût, ni que Jésus lui eût parlé auparavant. La spontanéité de Matthieu laisse voir dans ces deux mots une puissance à laquelle seule la foi, une dynamique intérieure, pouvait répondre : « quittant tout, il se leva et le suivit » (Luc 5, 27).

L’appel est une surprise et la réponse prompte. Cette surprise, je la qualifierai de « surprise du chef ». Dans la restauration – on sait bien que notre pays, la France, a un doigté gastronomique de renom – il s’agit d’un plat dont la nature n’est pas explicitée dans la carte et qui suscite la curiosité du client. La surprise aiguise la curiosité et cette dernière met en action tous les sens de notre corps. Pour ce collecteur d’impôts, le « suis-moi » de Jésus est la surprise du chef. Matthieu répond-il à cet appel pour assouvir sa curiosité ? Peut-être ! Mais cette curiosité n’est pas une suspicion, ni un simple désir, mais une force d’attraction qui s’appelle la foi. Elle précède l’appel objectif, meut notre intérieur, bouleverse complètement les données de notre vie… Celui qui l’a appelé a acquis immédiatement une importance inégalable à ses yeux au point de tout laisser. Mais qu’en est-il du regard de son entourage, de ceux qui l’ont condamné sans jugement préalable ? L’appel de Dieu désoriente les attentes de notre monde, questionne notre liberté et ouvre une perspective nouvelle à notre vie : « il se leva et le suivit » Continuer la lecture

EPI – Echo des Paroisses de l’Issole – 01/09/2019

EDITO :  « Cet homme fait bon accueil aux pécheurs… »

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Voilà une attitude de Jésus qui étonne grandement ses interlocuteurs : l’accueil ! Pharisiens et scribes sont scandalisés. Ils ne peuvent s’empêcher de dénoncer cette attitude qui ne semble pas cadrer avec l’image du Messie attendu. Plus qu’un simple étonnement, les paroles des Pharisiens sonnent comme une condamnation, un rejet de l’homme Jésus, une mise en cause… Comment un juif pieux peut-il s’ouvrir à un publicain, un homme différent par la culture et par le culte ? Pour eux ce Jésus qui accueille le tout-venant a un visage plus proche d’un farceur que d’un sauveur.

J’aimerais bien nous proposer l’accueil pastoral comme thème de la nouvelle année. Lorsque nous réfléchissons à la dimension pastorale de l’accueil, nous devons regarder comment Jésus, le bon pasteur, accueille, écoute, marque sa proximité avec tous ceux qui viennent à lui.

D’abord, Jésus accueille de manière inconditionnelle tous ceux qui frappe à sa porte : malades ou bien portants, prostituées ou scribes, publicains ou chefs de synagogues, juifs ou centurions romains… Les Evangiles regorgent de nombreuses scènes où Jésus accueille.

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EPI – Echo des Paroisses de l’Issole – 04/08/2019

EDITO : Laudamus te et glorificamus te

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Le soleil de l’été n’évoque pas seulement la canicule, très redoutée parmi les populations vulnérables, mais traduit aussi la splendeur de la gloire de Dieu. Bien des peuples, avant la Révélation, ont souvent vénéré le « dieu-soleil ». Ces peuples n’ont pas attendu que l’homme mette pied sur le sol lunaire, ni qu’ils aient inventé les télescopes, pour connaitre l’impact du soleil sur la vie. Dans ces cultures, dites « polythéistes », la religion tient une place primordiale et régit la vie des populations qui voient en chaque force de la nature, une manifestation divine. Le soleil est un facteur important dans la vie. Raison pour laquelle, il symbolise « Dieu », principe de vie. La Lumière éblouissante de ce mois suggère donc fortement l’éclat et la majesté de Dieu, l’Astre du ciel qui irradie le monde de sa lumière. Pour nous chrétiens, la splendeur de Dieu apparait de manière unique et symbolique dans la Sainte Liturgie où les fidèles sont appelés à contempler le mystère de Dieu et le célébrer avec ferveur et piété.

Parlant de la majesté de Dieu, le Psaume 18, 2 dit : « les cieux proclament la gloire de Dieu et le firmament raconte l’ouvrage de tes mains ». Dans l’Ecriture, le mot « gloire » implique l’idée de « poids », ce qui est stable et immuable… Dans la nouvelle alliance, la gloire de Dieu, symbolisée par le soleil, s’est manifestée étonnamment aux hommes dans le visage radieux du Christ, à la transfiguration et particulièrement à la résurrection. Ici, le mot « gloire » signifie Victoire…, Passage… Pâque ! C’est dans cette gloire de Dieu que Marie a été élevée « avec son âme et son corps », mettant ainsi en lumière, la puissance de Dieu « qui patiente et prend pitié ». Marie reçoit cette lumière, reconnait son influence désormais dans sa vie : « Le Seigneur fit pour moi des merveilles, saint est son nom ». Elle exulte de joie d’être choisie par ce Dieu dont l’amour s’étend d’âge en âge ainsi que sa miséricorde étendue aux hommes de tous les temps.

Au cœur de ce mois où l’Assomption nous laisse voir dans toute sa densité, la grandeur de l’amour de Dieu, vainqueur de la mort et du péché, je nous invite à la louange et à l’action de grâce :

Laudamus te et glorificamus te, pour cette année pastorale qui s’achève. Nous avons essayé de faire de petits pas de manière communautaire. Les fruits ne sont peut-être pas assez visibles, mais ils sont là dans l’effort de tous et de chacun.

Laudamus te et glorificamus te, pour l’année pastorale qui s’annonce. Elle reste une inconnue connue de Dieu seul. De même que Marie a été couverte de son Esprit-Saint, de même nous prions pour que ce même Esprit-Saint nous prenne sous son ombre et nous aide à réaliser les projets pastoraux de cette année à venir.

Laudamus te et glorificamus te, pour l’équipe des prêtres qui s’étoffe de deux jeunes prêtres. Il nous reviendra de les accueillir, de les aider à bien consolider leur projet de vie (leur charisme) et à bien fonder une véritable communauté à vocation de prière pour la France. A eux de trouver les ressources humaines et spirituelles pour rejoindre le champ pastoral qui favorise l’unité de la communauté dans la diversité des membres et de s’intégrer dans la vie des fidèles du Plateau de l’Issole.

Les occasions d’action de grâce ne manqueront pas. La gloire de Dieu illuminera nos pas. Dans son « fiat », Marie nous fait contempler la gloire de Dieu qui snobe « les puissants » et arrose « les humbles ». L’idée de la gloire de Dieu est donc à l’opposé de celle des hommes de notre monde. Pour le chrétien, il n’y a pas de gloire sans croix et pas de croix qui ne suppose la victoire… « Le Thabor n’est jamais loin du Calvaire. Les deux montagnes se font face aussi en nous. Les moments de transfiguration nous aident à tenir dans la foi quand l’épreuve devient trop lourde. » (Benoît XVI, Carême, le 4 mars 2007)

A La rentée, le mystère de la croix glorieuse rayonnera dans toute sa splendeur avec la messe de la rentrée pastorale (Installation sur le mont Thabor). Saint Felix introduira l’année avec sa double signification, cultuelle et culturelle : le cultuel pour affirmer notre foi et la célébrer, le culturel pour éveiller la foi de ceux qui sont sur le parvis de l’église (moment de gravir le Golgotha)

Entre les deux montagnes, fixons notre regard sur l’Astre d’en haut, soleil de vie, qui vient visiter tous les hommes : Laudamus te et glorificamus te (nous te louons Seigneur et nous te bénissons !)

P. Dieudonné MASSOMA

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EPI – Echo des Paroisses de l’Issole – 01/06/2019